« Nous demandions que le projet garantisse la qualité de vie des Auderghemois : rejeté ! »
Par Jeremy Van Gorp et Martine Maelschalck, conseillers communaux MR à Auderghem
- La faiblesse des adaptations apportées au PAD en réponse aux inquiétudes manifestées depuis 2018 par les citoyens
- Les conséquences du PAD dans son ensemble pour la qualité de vie à Auderghem, qui risque de perdre son caractère de « village dans la ville »
- Les conséquences de la destruction du viaduc Herrmann-Debroux en matière de mobilité dans la commune, d’environnement et de pollution sonore aux abords du boulevard urbain
- Les conséquences conjuguées de la suppression du viaduc et de l’augmentation du nombre d’habitants et de déplacements dans la commune
- L’absence d’alternative à un certain nombre de projets considérés comme acquis : destruction du viaduc HD, emplacement et capacité du parking de dissuasion, choix du tram et non du métro, suppression de la circulation automobile sur le viaduc de Watermael, aucun projet au niveau du carrefour Léonard…
- La hauteur trop élevée d’un certain nombre d’immeubles prévus sur les « sites en accroche ».
Retrouvez l’article de la Capitale sur le sujet. On y lit: « Jeudi soir, au conseil communal, de nombreux riverains étaient présents pour applaudir (très brièvement, car le règlement l’interdit), les remarques de l’opposition portées par le MR. «Le projet tel qu’il est présenté ne me fait pas rêver», s’est exclamé Jeremy Van Gorp. Bien que la majorité des amendements réclamés par le conseiller n’aient pas été adoptés – peu étonnant face à une majorité de 27 sur 31–, le groupe MR a insisté: «les premières victimes de ce plan, ce sont les Auderghemois». L’inquiétude qu’il a soulevée vis-à-vis de ce projet de réaménagement à l’entrée de Bruxelles semblait également présente au sein de la population auderghemoise. »